Le vapotage passif peut-il polluer l’air ?

Formellement prohibé dans les endroits destinés à accueillir les mineurs, le vapotage est cadré par la Loi Santé de 2016. Ainsi, vous devriez ne pas utiliser une cigarette électronique dans l’enceinte d’un établissement scolaire. L’interdiction est aussi valable au sein d’un hébergement ou d’un centre de formation pour mineurs. Vous ne devriez pas non plus consommer une cigarette électronique dans un lieu de travail couvert, mais aussi fermé. Cela est aussi valable pour les zones à usage collectif tout comme les moyens de transport public.

En outre, les endroits ouverts aux grands publics ne sont pas défendus pour la consommation d’e-cigarette. Cela dépend uniquement de la décision des responsables de ces endroits. On peut prendre comme exemple les hôpitaux ainsi que les hôtels, mais aussi les commerces. Il ne faut pas non plus oublier les restaurants tout comme les bars et bien d’autres encore. De ce fait, les établissements qui interdisent le vapotage doivent informer directement leurs clients.

De son côté, un employeur peut aussi autoriser ou non l’utilisation d’une cigarette électronique ou dans les lieux de travail. Cela est tout à fait valable que ce soit dans les espaces de pause ainsi que les bureaux individuels. En tout cas, vous devez noter que le vapotage n’est pas autorisé sur l’étendue du territoire Français. Notez que vous pouvez vous faire infliger une contravention si vous ne faites pas attention aux règlements. Cela est valable que l’entrave se fasse de manière naturelle ou non.

D’une manière générale, les scientifiques spécialisés en vapotage électronique différencient parfaitement le vapotage et les cigarettes ordinaires. En effet, les vapeurs dégagées par les deux types de produits n’ont pas les mêmes effets. De son côté, le CSIC (Conseil Supérieur de la Recherche Scientifique) a mené une étude de son bureau en Espagne. L’organisme met en avant les moindres modifications sur la qualité de l’air. La comparaison se fait entre les e-cigares ainsi que les cigarettes standards.

Il faut noter que c’est dans cette perspective que la loi Santé de 2016 a été mise en place. Cela est aussi valable pour son décret d’application sorti en 2017. Tout comme l’interdiction de fumer dans chaque lieu public, le vapotage est aussi prohibé dans certaines zones. Cela repose souvent sur l’utilisation d’une e-cigare à vapotage passif. Cela peut rendre la cigarette électronique comme étant un produit anxiogène. La question qui se pose concernant l’e-cigarette est liée au fait qu’elle peut nuire à l’environnement. En effet, on peut se demander si cela a été prouvé par les scientifiques.

Le rapport officiel demandé par le Ministère de la Santé en 2013

Un rapport officiel concernant le vapotage a été demandé par le Ministère de la Santé en 2013. Une initiative menée par la ministre Marisol Touraine en personne. Ainsi, un groupe d’experts a été chargé de réaliser le rapport. Une équipe formée par des représentants de la Direction générale de la Santé et l’Office français de prévention du Tabagisme. Vous pouvez avoir la certitude que chaque moment de vapotage passif sera inoubliable.

À noter que le rapport renferme une partie entière qui évoque le vapotage passif. Vous y verrez alors toutes les lacunes concernant les analyses scientifiques. D’ailleurs, il ne faut pas oublier de lire les conclusions données par ces mêmes scientifiques. Sachez alors que la majorité de la quantité de vapeur dégagée par la cigarette électronique disparaît plus vite. Cela n’est pas le cas avec la fumée de la cigarette standard. 95 % de la vapeur disparait alors quelques minutes seulement et se transforme en gaz.

Par ailleurs, il est difficile d’évaluer le temps de pollution de la quantité de gaz formés par la vapeur. Le rapport indique aussi l’absence d’une combustion favorisant le défaut de monoxyde de carbone. Cela est aussi le cas pour les particules solides qui peuvent présenter des dangers. Même la présence d’éléments pouvant provoquer un cancer à l’intérieur des e-liquides n’est pas évoquée dans le document. Vous pouvez alors compter sur la qualité USP des flacons ainsi que l’EurPh.

Par contre, le rapport insiste sur la présence de solvants et de nicotine dans chaque vapeur dégagée par une e-cigarette. La nicotine est principalement présentée sous la forme de gaz. Il faut aussi noter certains produits pouvant se montrer irritants. Le rapport insiste aussi sur le passage de la nicotine auprès des personnes non-fumeurs. Ces derniers peuvent parfaitement subir les effets du vapotage. On peut par exemple évoquer l’irritation des bronches ainsi que d’autres situations.

Le Conseil d’État se montre plus confiant

Il faut savoir que les pouvoirs publics ont la possibilité de se baser sur rapport officiel pour prendre une décision. À noter que le Conseil d’État a tranché sur le rapport en 2013. Le Conseil d’État insiste sur la différence entre le vapotage passif et le tabagisme avec cette même forme.

Ainsi, le conseil souhaite rappeler que le gaz causé par le vapotage est loin d’être dangereux. Par ailleurs, aucun élément ne permet de déterminer une inquiétude avec le vapotage passif. Vous pouvez vous attendre à ce que l’utilisation d’une cigarette électronique ne nuise pas à l’environnement. Dans tous les cas, le Conseil d’État ne trouve aucune raison d’empêcher la consommation d’une e-cigarette.

L’OMS ne veut rien laisser au hasard

En 2016, l’OMS propose des recommandations craintives que celles évoquées par le Conseil d’État. Elle s’est principalement basée sur une mise-analyse australienne. On parle ici du « A systematic review of the health risks front passive exposure to electronic cigarette vapour. Ce document insiste sur la présence de plusieurs éléments nocifs à l’intérieur de chaque vapeur. On peut par exemple citer les composants suivants :

  • La nicotine
  • La glycérine
  • Le propylène glycol
  • L’acétaldéhyde
  • Le formaldéhyde
  • Des hydrocarbures aromatiques polycycliques
  • Des métaux

L’OMS indique alors que l’e-cigarette peut avoir un impact différent sur l’air ambiant. Cela implique que vous ne devriez pas négliger de fortes expositions aux vapeurs des e-cigarettes. Pour aller plus loin, l’organisme a demandé à voir de plus près le cas des personnes considérées comme étant fragiles. Les personnes à risques comme les enfants et les femmes enceintes. D’autres catégories de personnes peuvent aussi avoir du souci avec la cigarette électronique. On peut par exemple évoquer les individus avec des maladies respiratoires chroniques. Cela est aussi valable pour les soucis cardiovasculaires. L’OMS insiste aussi sur les niveaux les plus bas.

Quelques précisions sur la méta-analyse australienne

Vous devez savoir que la méta-analyse australienne a été fondue sur une base de 16 études. De ce fait, il est indispensable de vérifier les corrélations qui peuvent se présenter pendant chaque séance de vapotage passif. Les études ont été menées par Isabel MR Hess et Adam Caponet ainsi que Kishen Lachireddy.

Ces 3 scientifiques indiquent clairement les limites concernant la méthodologie sur les études que vous devriez prendre en compte. Il faut noter que le test de vapeur d’e-cigares dépend de la méthode utilisée par chacun. Autrement dit, il faut prendre en compte les bonnes techniques de mesure instaurées par chercheur. Les tests peuvent parfaitement se faire sur les concentrations des composants chimiques. Ceux-ci sont généralement relâchés dans l’air ambiant pour utiliser une cigarette électronique.

L’analyse de l’OMS peut suffire pour vérifier le manque de connaissance sur le potentiel vapotage passif. L’organisation insiste en même temps sur l’amélioration des recherches pour assurer le test de la vapeur. À souligner que la méthode doit être la plus fiable possible. Il faut noter que le manque de connaissance du domaine peut s’avérer incontournable. Elle prend aussi très au sérieux le potentiel risque pouvant être causé par le vapotage passif. L’OMS préconise en même temps une solution adaptée au risque potentiel. Cela veut dire que vous devriez prendre certaines précautions avant d’utiliser une cigarette électrique.

La Loi Santé insiste sur l’importance de la précaution à prendre en compte. Vous devriez par exemple opter pour un vapotage passif pour consommer une cigarette électrique. D’ailleurs, l’OMS ne dit pas que l’e-cigare peut remplacer efficacement le tabagisme ordinaire.

Le CSIC (Conseil supérieur de la recherche scientifique) a aussi ses perspectives

À titre de rappel, sachez que le CSIC est un organisme public implanté en Espagne. Ce conseil dispose de plusieurs chercheurs près à tout pour faire les études dont vous avez besoin. Chaque étude réalisée doit éliminer le moindre manque d’informations. Vous accéderez alors à des données fiables et concluant sur les particules. Le conseil peut parfaitement s’intéresser aux produits polluants.

En février 2019, des études ont montré que le vapotage est passif. L’objectif est d’obtenir de l’air de qualité supérieure. Il faut noter que l’air dégagé par la cigarette électronique est complètement différent du tabac ordinaire.

La méthodologie de l’étude

Sachez que les chercheurs ont bien préparé les choses pour faciliter leur travail. Ces derniers ont alors commencé par trouver un endroit de 54 m² parfaitement clos. Par ailleurs, ces chercheurs sont plongés dans un endroit sans ventilation externe. Dix volontaires ont été invités par les chercheurs pour réaliser des recherches. On parle ici de 5 personnes non vapoteurs et 5 autres non-fumeurs.

Sachez que ces gens doivent rester au bout de la pièce. Cela vous évitera le moindre souci de fonctionnement. Les chercheurs peuvent alors réaliser facilement les trouvailles concernant les polluants. Ils prennent même en compte la quantité d’air expiré par chaque volontaire. C’est le meilleur moyen d’obtenir une base de VOC (Composés organiques volatils).

Les chercheurs veulent aller plus loin en se tournant vers les autres volontaires qui ont déjà une nouvelle durée de 12 h. Ces vapoteurs peuvent aussi profiter de la présence de VOC. Cela a permis d’utiliser à nouveau l’air expiré par les volontaires.

Il faut reconnaître que la méthodologie d’étude offre la possibilité de choisir un nouveau travail. Les recherches se font toujours dans un endroit non ventilé. On peut dire sans hésiter que la méthodologie permet aux chercheurs de s’informer pleinement sur le vapotage passif. Cela permet tout simplement de vérifier les risques maximaux pouvant se manifester pendant une exposition. Vous pourriez aussi vous limiter au questionnement concernant le vapotage.

Ce qu’il faut retenir sur des conclusions laissées par les chercheurs

L’un des chercheurs ayant le test s’est manifesté depuis le 5 mai 2019. Il a parfaitement choisi le journal digital El Independiente. Le chercheur indique alors que le vapotage passif n’augmentera pas la pollution de l’air. D’ailleurs, les polluants ne seront pas trop importants même si cela devait se produire. Vous pouvez alors avoir la certitude que la fumée ne possède aucun composant néfaste. Ainsi, vous n’avez pas à avoir peur de la forte teneur en monoxyde de carbone. On notera aussi le benzène ainsi que le xylène et l’éthylbenzène.

L’absence d’une combustion peut vous rappeler directement le tabagisme passif avec le vapotage passif. Tout le monde sait parfaitement conscient de la présence de nicotine à un certain moment. Par ailleurs, celle-ci peut se doter facilement d’une bonne quantité de formaldéhyde. Ce dernier ne devrait pas augmenter après le vapotage.

L’étude met parfaitement en avant la différence qui se manifeste auprès des substances toxiques. Celles-ci sont dégagées avec des substances toxiques dégagées par la fumée. Mais, il ne faut pas non plus oublier la présence de certains produits toxiques à travers la vapeur. En outre, cela ne suffit pas pour affirmer que le vapotage passif n’est pas en danger. Effectivement, Les non-vapoteurs peuvent se montrer exposés à la vapeur dégagée par votre e-cigarette. Les personnes fragiles peuvent aussi subir les conséquences des vapeurs. Cela peut se passer sur le long ou le court terme.

La question qui se pose est de savoir si l’autorisation de la vape dans certains lieux peut se faire ou non. N’oubliez pas que les endroits où le tabagisme est interdit est aussi elle-même que pour l’e-cigarette. On peut prendre la possibilité de fumer ou non dans les lieux de travail. Notez que ce genre de situation peut aider un grand fumeur à faire du sevrage. Il est plus facile d’arrêter complètement le tabagisme avec l’utilisation d’une cigarette électronique. Cela est parfaitement valable même avec un vapotage passif.

Certes, vous pourriez voir de nombreux fumeurs devenir amateurs de vapotage. Par contre, il faut faire attention à bien respecter la législation pour éviter le moindre problème. Il ne faut pas négliger le fait que l’utilisation d’e-cigare peut causer une nouvelle forme de dépendance. Cela est parfaitement valable même si vous optez pour un vapotage passif. D’ailleurs, les autorités insistent sur l’importance de ne pas toucher à la législation. Cela permet d’éviter au maximum le problème de dépendance à la nicotine.

Que peut-on dire sur la nicotine dans le monde du vapotage ?

En aucun cas, les autorités françaises ne peuvent pas régler complètement les problèmes liés au tabagisme. Par contre, elles ne peuvent pas non plus refuser l’absence des éléments dangereux liés au tabagisme passif. Vous ne devriez trouver aucune trace de composant dangereux dans la vapeur de cigarette électronique.

D’un autre côté, il est impossible de dire que le vapotage passif est une activité qui n’existe pas. Cela se traduit par le passage de la nicotine pendant une exposition passive. De son côté, la législation refuse catégoriquement d’apporter des mises à jour sur le texte concernant l’e-cigarette. Toutefois, cela n’empêche pas de faire les choses comme le zaza.

Ce qu’il faut retenir pour éviter les mauvaises surprises

Contrairement à la cigarette ordinaire qui dégage plus de 85 substances toxiques. La cigarette électronique peut parfaitement vous offrir le maximum d’avantages. Il faut noter que la nicotine est reconnue comme étant une substance controversée. N’oubliez pas que la nicotine peut avoir un impact sur votre pression artérielle. Vous pourriez aussi subir des problèmes cardiaques avec ce type de cigarette.

Les autorités ne veulent pas non plus subir des problèmes liés à l’utilisation d’une cigarette électronique. En outre, vous pourriez subir un problème de dépendance si vous faites trop de problèmes. À cela s’ajoute un autre problème lié à une exposition passive.

Pour les femmes enceintes, il est déconseillé de faire un vapotage passif. Cela vous évitera les pertes de temps tout en vous mettant parfaitement en sécurité. Il ne faut pas oublier le fait que les techniciens peuvent faire les choses dans les meilleures. Pour Luc Réfabert, il est plus facile de se déplacer. Il est plus sage de faire du vapotage dans un lieu clos. Dans tous les cas, une cigarette électronique doit être rangée à l’abri des enfants pour éviter de problèmes.

Prévention et diabolisation avec le CSIC

Au final, on peut dire que le CSIC a déjà fait ce qu’il fallait sur les substances réalisées en milieu clos. Cela concerne principalement le domaine du vapotage. Mais, cela ne suffit pas toujours pour profiter pleinement du plaisir de votre cigarette électronique. Les amateurs de cigarette électronique attendent toujours le changement de la législation. Mais avant cela, vous n’aurez aucun mal à traiter les choses correctement.

Il faut savoir que la vapeur est bien plus avantageuse que la fumée à chaque vapotage lisse. Par contre, il faut faire attention à rester attentif sur la réouverture de certains endroits. Vous pouvez aussi appliquer une méthodologie pour rendre les choses plus faciles. L’objectif est que vous puissiez vapoter tranquillement et de manière passive.

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