Il existe une multitude d’expressions techniques utilisées, concernant les boxs électroniques. Après l’acquisition d’une nouvelle box électronique, on peut faire face à des difficultés à comprendre les notices d’utilisation. Certaines d’entre elles ne sont pas aussi instructives et pédagogiques. Dans cet article, on peut profiter d’une meilleure occasion pour mieux comprendre leur fonctionnement.
Le Firmware et le Chipset : les caractéristiques techniques
Lorsqu’on parle d’une box électronique, le terme le plus utilisé est le Chipset. En effet, il s’agit de son cœur, sauf pour les mods mécaniques. En réalité, cela consiste à un circuit électronique, sur lequel tous les composants électroniques sont mis en place. Il est accompagné par un firmware, qui constitue son petit programme et qui assure le fonctionnement du chipset. Ces deux objets sont les principaux éléments qui composent tous les appareils électroniques, notamment les fours microondes et les lave-linges.
Pour un mod électronique, ce sont eux qui assurent la gestion de la puissance, son réglage et l’affichage de son écran. Cela concerne également la gestion de l’interface graphique que l’on visualise sur l’écran. Le chipset joue un rôle essentiel, car c’est lui qui se charge de la loi de la résistance. Sur un mod électronique, il est en contact direct avec les accus, ce qui est le cas contraire pour un mod mécanique. Afin d’apporter la puissance voulue, il assure les calculs nécessaires. Certains mods disposent de nombreux accus et il reviendra au chipset d’assurer son efficacité si ces derniers sont similaires.
Outre ses fonctions principales, le chipset joue également d’autres rôles indispensables. Comme il existe un grand nombre de types de firmware et de chipset, ce sont eux qui caractérisent une box. La performance varie davantage d’une marque à l’autre, mais chacune d’elles permettent de réaliser des mises à jour qu’on peut télécharger en ligne. Parmi les catégories de chipset, on reconnaît les DNA d’Evolv, les Yihi SX de Yihicig et les OMNI-board de Vaporesso.
Malgré la présence d’un grand nombre de chipsets et de firmwares, on doit être attentif sur le choix. En fait, la qualité varie d’une marque à l’autre. De plus, on doit tenir compte des valeurs indiquées, telles que l’ampérage et l’intensité. Il s’agit des éléments à prendre en considération afin de déterminer la puissance fournie. Un autre élément à ne pas prendre à légère consiste à son affichage. De préférence, il doit être le plus proche de la réalité. Afin d’y parvenir, on ne doit choisir que des chipsets haut de gamme, notamment l’Yihi ou les DNA. L’affichage de l’écran dépend de chaque marque et il en va de même pour le nom des méthodes de vape. De toute manière, si on prend en compte des différents détails, on pourra se trouver dans le perplexe. La seule chose qui compte, c’est que toutes les boxs électroniques ont la même fonction.
Boxs électroniques : modes de vape
Les boxs électroniques connaissent de plus en plus de progression et d’innovation. Elles sont en mesure de réaliser de la vapeur de manière différente et, cependant, on parle des modes de vape. Grâce à leur mise à jour, on peut personnaliser les boxs en fonction de sa Power, son Bypass et sa température. Le fait de savoir combiner ces paramètres, en fonction des préférences personnelles, détermine le mode de vape.
👉🏻 Watts
De nos jours, il s’agit du mode fréquemment utilisé. Auparavant, on ne peut se servir que le mode « Volts ». On peut désormais procéder au réglage de la puissance, en particulier par le biais des résistances. Il existe différentes appellations de ce mode en fonction des modèles et des marques.
Pour la plupart des marques, comme Vaporesso ou Pico d’Eleaf, on le nomme « Variable Watts » ou « VW ». Pour d’autres, notamment Minikin d’Asmodus, on l’appelle « Power ». Pour d’autres encore, on le surnomme le « Ka », comme on trouve sur les boxs électroniques de Teslacigs Dans ce terme, le Ka signifie Kanthal et cela ne notifie pas qu’on n’a pas le droit d’utiliser d’autres résistifs sur la même box électronique en mode watts. La plupart des boxs indiquent « VW » au niveau de leur écran.
Certaines d’entre elles proposent un complément, permettant de booster plus ou moins la puissance de la résistance. Il s’agit d’une option, pouvant être utile lorsqu’on utilise des grosses résistances, nécessitant plus de puissance. Cela aide à la prévention d’un effet diesel. Pour booster normalement, l’écran doit afficher la lettre « N », tandis qu’elle est de « H » pour le mode Hard. On peut trouver ces inscriptions sur les boxs des Alien, T-Priv, G-Priv et Smok. Pour le cas d’Yihi, et les modes disponibles sont l’Eco, le Soft, le Standard, le Powerful, le Powerful+.
👉🏻 Mode Bypass
Il s’agit d’un mode qui ne nécessite aucun réglage, car il n’est pas régulé. L’utilisateur ne peut pas se permettre à l’augmentation ni à la réduction de la puissance. Lors d’un mode Bypass, l’appareil déploie toute son énergie, notamment de sa batterie et de son accu. Cependant, le terme utilisé pour la puissance n’est plus le « Watts », mais le « Volts ». C’est parce qu’il se sert de la tension de l’accu. La valeur des résistances n’est plus prise en compte, ce qui lui ressemble à un mod mécanique. En mode Bypass, un mod électronique se sert des protections électroniques. Cela permet, par exemple, de prévenir la dégradation de la batterie ou du dégazage de l’accu.
👉🏻 Mode Voltage Variable
Cela consiste à l’un des mods les plus anciens de ce secteur. C’est parce qu’on le trouve chez les batteries « Spinner ». Par exemple, on le trouve sur la batterie des modèles Jem ou sur les chipsets OMNI-board de Vaporesso. On le trouve également et fréquemment sur les petites résistances, dont la valeur est de 1 ohm ou plus. La tension envoyée par la batterie est en Volts, contrairement à la puissance en watts. Dans ce cas, le chipset ne considère plus la valeur des résistances. Toutefois, il s’agit d’un mode qui est rarement utilisé et on le symbolise par « VV » sur les mods.
👉🏻 Le contrôle de température
Ce type de mode a commencé à être plus fréquenté en 2015. Cependant, il s’agissait d’une petite révolution, permettant à la prévention des dry hits et à l’optimisation du rendu de saveur. Il s’agissait également d’un excellent moyen d’économiser la batterie. Le lancement de ce mode était vraiment révolutionnaire, de sorte que tous les modèles en proposent.
Le contrôle de température tient une place importante dans la vérification de la température des résistances. Il permet d’éviter l’excès de température de manière que la fibre de coton ne se brûle pas. Cela aide alors à prévenir la saveur du brûlé. Malgré tout cela, cela ne fonctionne qu’avec des fils spécifiques, qu’on nomme des fils non-résistifs. La majorité d’entre eux sont en Titane (Ti) et en Nickel 200 (Ni). Par ailleurs, certains sont en Stainless Steel (SS) que l’on peut utiliser tant en CT qu’en Bypass ou VW.
On peut utiliser le contrôle de température par le biais d’un matériel reconstructible. En ce qui concerne les clearomiseurs, les seules résistances qu’on peut mettre en place sont le SS, le Ti et le Ni. En mode reconstructible, ce type de système doit respecter des règles précises afin de bien fonctionner.
Autrefois, il faisait partie des tops en matière de tendance, mais malheureusement, il a connu une décroissance significative. Pour les adeptes, c’est en raison de sa difficulté à l’utilisation. C’est parce qu’il requiert un haut niveau de compréhension avant son utilisation. Le contenu de sa notice n’est pas souvent instructif et varie d’une marque à l’autre. Le calibrage des résistances à froid et la relation entre puissance et température, tout cela rend le CT moins facile à utiliser. En outre, la pratique du CT n’est pas compatible avec tous les chipsets et l’efficacité dépend d’un chipset à l’autre.
Il convient de préciser que le CT sur les boxs électroniques Yihi est indiqué en Joules, non pas en température. En 2018, certaines marques ont abandonné ce système, notamment le Cube d’Obs, l’Istick Nowos d’Eleaf et le Topside de Dovpo. Sur l’écran des boxs, le CT s’indique souvent en « TC » ou en « Temp ». Parfois, il se symbolise par le résistif « SS », « Ti » et « Ni », comme on trouve sur les modèles de Teslacig.
👉🏻 Mode TCR
Ce terme indique le coefficient de température des résistances. En fait, il s’agit d’une version innovante du CT. Plus précisément, le TCR indique la résistivité des résistances en fonction de leur température. En général, il est mesuré en ppm/C°. Plus sa valeur est élevée, plus la pression des résistances est favorable.
L’atout principal de ce mode consiste à l’utilisation de plusieurs fils résistifs, et même non-résistifs. Néanmoins, il est important de savoir le coefficient d’un fil donné. Afin d’utiliser le TCR, on doit mentionner manuellement le coefficient de résistivité d’un fil donné. Lors de son apparition, les fabricants fournissaient un tableau de coefficients, mais malheureusement, ce n’est plus le cas. On a qu’à se contenter alors de réaliser des recherches en ligne.
Pour la plupart des modèles, il est indiqué par TCR même. En accédant au menu, on demande souvent d’opter manuellement pour un coefficient de résistif souhaité. Par la suite, on doit sauvegarder ce paramètre afin que la box puisse conserver le profil d’atomiseur. C’est la principale raison qu’il affiche souvent M1 et M2 qui constituent les paramètres enregistrés. Afin d’accéder au TCR et à un profil enregistré, chaque modèle dispose de son propre menu. Il faut alors parcourir le menu afin de trouver ce terme.
👉🏻 Mode Curve
Actuellement, il s’agit d’un mode à la tendance. Son avantage consiste à la personnalisation de la puissance, plus précisément la tension à fournir à la résistance. Il permet d’augmenter significativement la puissance, lors du début de la bouffée. En revanche, on peut commencer la bouffée en douceur, puis augmenter progressivement la puissance. L’objectif principal consistera à fournir la puissance souhaitée à la vape si elle est trop pêchue. Par contre, si elle a un effet diesel, la résistance pourra chauffer insuffisamment au début de la vape.
En principe, le nom de ce mode est Curve sur la plupart des boxs électroniques modernes. Nonobstant, certains modèles peuvent le nommer autrement, notamment « User », particulièrement sur les modèles Teslacigs, CCW de Vaporesso. De toute manière, cette dernière consiste à la marque spécialiste en ce type de réglage.
Son réglage peut prendre sous différentes formes, en fonction de l’interface graphique et du chipset. Au sein de Vaporesso et de Teslacigs, il ressemble à un histogramme, dans lequel chaque colonne convient à une puissance donnée, pendant une seconde. D’un côté, la durée de chaque bouffée est exprimée en seconde, tandis que la puissance est en watts.
Les caractéristiques de l’interface graphique
Lorsqu’on parle de l’interface graphique, on entend souvent « couleur ou monochrome » et « TFT ou Oled ». En effet, les écrans varient d’un modèle à l’autre, mais ils fournissent les mêmes informations indispensables. Cela peut concerner le voltage, le mode courant de vape, la valeur des résistances ainsi que la puissance. Lorsqu’ils affichent les volts, cela indique la tension souhaitée par la résistance ou le montage. Cela ne constitue pas la valeur de la tension des accus. Ils peuvent davantage fournir d’autres informations supplémentaires, telles que le nombre de puffs. L’une des informations les plus essentielles consiste au niveau de l’accu ou de la batterie, permettant à l’anticipation d’un rechargement.
La connexion USB
En principe, la connexion mise en place par les fabricants est le micro-USB. Elle se sert pour le téléchargement des mises à jour du firmware et le rechargement de la batterie et des accus. À l’égard des mises à jour du firmware, elles permettent de l’upgrader qui se font généralement et gratuitement en ligne. Elles sont accessibles depuis le site officiel de la marque. Pour unnouveau firmware, l’instruction de sa mise en place varie d’un site à l’autre et souvent en anglais. L’objectif principal des mises à jour consiste à l’apport des modifications ou des corrections, indispensables au bon fonctionnement de l’appareil. Si on n’arrive plus à trouver une mise à jour, cela signifie que la marque à cesser le développement.
La connexion USB permet également de recharger la batterie. Lorsque le rechargement se fait automatiquement pour une box, ayant une batterie intégrée, celle à accus se procède différemment. En conséquence, le rechargement des accus par le biais de l’USB est tout à fait déconseillé. Il faut également éviter de vapoter, lors du rechargement. Un grand nombre d’Alien 220 se fondent en raison du rechargement à l’aide de l’USB.
Par ailleurs, il s’agit d’une autre histoire si la marque indique clairement le rechargement par USB. Heureusement, les derniers modèles de chipsets ont connu une énorme évolution, permettant de mieux gérer le rechargement des accus. Cela concerne particulièrement les capacités de 1,5 A ou plus et la réduction de la durée de rechargement. Il en va de même pour les appareils qui disposent d’une bactérie intégrée.
Le choix d’un accu pour une box électronique
Par rapport à une box mécanique, le choix se fait de manière plus simple. C’est parce qu’il revient au chipset de tout gérer. On a qu’à respecter les règles de base, notamment l’option pour l’une des marques réputées. Pour une box à multiples accus, on doit choisir des accus de capacités et de marque identiques. En effet, cela permet de respecter l’équité de courant de décharge. Entre les accus, le CDM est indiqué en Ampères.
Le choix du mode d’une box électronique
Parmi les plus prisées, l’une des options consiste au « Stealth », qui signifie en mode « furtif ». Elle permet de vapoter de manière discrète, sans avoir à allumer l’écran. À cet effet, cela contribue à l’économie de l’énergie de l’accu. Afin d’activer ou de désactiver ce mode, on doit se référer à la notice de la box. Le mode de fonctionnement varie d’un mod à l’autre et il en va de même pour l’inversion de l’écran.
Quant à l’option « lock/unlock », elle permet au blocage des boutons de réglage. Cela participe à la prévention de son activation de façon accidentée. Comme l’inversion de l’écran et le mode Stealth, l’accès à cette option dépend proprement de chaque modèle. Certains proposent des raccourcis faciles, tout en appuyant simultanément sur les boutons « + » et « -« .
Le choix d’un clearomiseur pour une box électronique
Beaucoup de gens se demandent de la compatibilité des clearomiseurs avec un mod électronique. À l’égard de la connexion, tous les appareils sont désormais standardisés. Ils ont tous une connexion 510. En revanche, le potentiel obstacle pourrait être la non-compatibilité de la plage de résistances. Les chipsets de toute box sont compatibles aux résistances d’un clearomiseur ou d’un atomiseur. Néanmoins, on doit respecter une certaine valeur qui est indiquée en Ohm.
Outre la plage, certaines boxs ne sont pas convenables, en affichant « Check ato » sur leur écran. Il s’agit d’une fonctionnalité permettant à la protection des accus et de la batterie. Cela aide à la prévention des risques de dégazage et de chauffe. C’est la principale raison de l’affichage de la valeur d’une résistance. Le respect de cette condition permet de déterminer la compatibilité des clearomiseurs et des atomiseurs reconstructibles avec des boxs électroniques.